Comme je suppose que vous avez l’occasion de vous rencontrer avec Torvaldsen, je vous prie de vouloir bien lui faire mille compliments de ma part, et lui dire que j’ai parlé au Comte Sommariva comme il convenait, et avec tout l’intéret que pouvait m’inspirer l’amitié que je lui porte ainsi qu’a Torvaldsen et mon desir sincere de pouvoir les mettre d’accord, mais que malheureusement je n’espère pas, quand a présent avoir reussi, ayant trouvé le Comte Sommariva très monté contre Torvaldsen. Dite cependant a celui ci que s’il croit que je puisse le servir, s’il veut m’envoyer quelque chose par écrit je le remettrai a Sommariva en lui parlant comme Torvaldsen peut le desirer, étant vraiment très fachée de les voir mal ensemble et ne désirant rien tant que de pouvoir les mettre d’accord.
Extrait du lettre de Md Salvage
de Faverolle née Dumorey -
de Paris 12 Janvier 1827
[På bagsiden af brevet med Thorvaldsens egen hånd:]