[Dagbog 7.4.1821:]
... Pr[insen] af Bayern besøgte mig tidligen.
Afr[ejse] Kl. 11; flere Danske mødte os endnu i la Storta, givet Thorvaldsen en Daase til Erindring; disponeret over Busterne . . . til Neapel 7, nemlig til Erkebisp[en], til Montic[elli], til Ricciardi, til Mad[ame] Escalon, til Brock[en]h[us], til Vogt, til Gr[evinde] Oginska, [desuden] til Mad[ame] Vessey, til Brøndst[ed], Freund. Prinds[essens] til Erkeb[ispen], til Montic[elli], til Ricciardi, til Mad[ame] St. Ange, til Mad[ame] Vessey.
Ankomst i Terni Kl. 12½.
[Rejseoptegnelse 7.4.1821:]
Je dis mes adieux à Rome. Quil est pénible de quitter un séjour, où on se trouve bien, où on laisse des amis incomparables, où on aurait de quoi satisfaire sa curiosité, augmenter ses connaissances pour bien des tems encore. Une lettre venue du Roi, et qui m’aurait permit de retarder mon départ, ne me vint que le jour avant le voyage déjà arrêté; je fis quelques démarches pour conserver mon logis mais il était déjà loué à d’autres, et je le crus plus sage et plus oeconomique surtout de ne pas changer les déterminaisons déjà arrétées. Le coeur oppressé je m’arrachais d’un séjour qui m’offrit tant des charmes, et les derniers adieux à mes compatriotes furent dites à la première poste, la Storta, où Thorwaldsen, les Baudissins, Bangs et le nombre d’artistes, qui me virent partir à regret, étoyent réunis pour nous faire leurs adieux. J’y donnais encore une tabatière en souvenir à notre incomparable Thorwaldsen en récompense des bustes qu’il avait fait de nous à Rome.