[Dagbog 26.2.1821:]
... Siden oppe hos Rehdens, hvor Thorwaldsen og Schadow modellerede Busten af en Albanerpige, der har særdeles regelmæssige Træk; Th[orvaldsens] var for idealsk, den andens det modsatte. Corso meget moersomt.
Aften Fest og Bal hos Hertugen af Hamiltons – en elskværdig Dame.
[Rejseoptegnelse 26.2.1821:]
J’ai vu Thorwaldsen travailler en marbre au buste du Prince royal de Bavière. Il serait à désirer qu’il veulle se donner à cet heure à terminer ainsi les ouvrages nombreuses qui encombrent son attelier, et qui n’attendent que sa retouche. Il travaille avec facilité, quoique des longtems il ne l’aye pas fait, et il y a des années oú n’ayant pas travaillé en marbre, ses élèves même étoyent de l’avis qu’il n’étoit pas en état de le faire. En racontant cet anecdote il remarqua qu’il n’y a guère de difficulté à ce travail mecanique, mais que de bien modeller constitue premièrement l’artiste habile. Lui et Schadow ont été occupé à modeller, plusieurs peintres à desiner une jeune Albanaise, qui étoit venue s’entretenir quelques jours dans la maison du Baron Rheden. Les formes de son visage étoyent tout à fait ceux de l’antique, les yeux ressemblaient beaucoup à ceux de mad. Buonacorsi. Thorwaldsen avec son génie en fit un tête plus idéale qu’exactement ressemblante. Schadow s’efforça en vain de saisir cette beauté dans ses traits réguliers.