Monsieur le Commandeur,
Vous avez bien voulu me promettre une de vos signatures pour un recueil d’autographes, Je viens avec confiance vous prier de vous en ressouvenir. Le billet que vous voudriez bien m’écrire en réponse à celuici remplirait parfaitement mon but. L’intéret qu’on attache à posséder quelques lignes tracées par un homme célèbre s’explique facilement et votre extrême modestie pourrait seule vous le dissimuler mais dans tous les cas cette raison excusera mon importunité dont je vous demande un million de pardons.
Agréez, Monsieur le Commandeur, les assurances de la haute considération avec laquelle j’ai l’honneur d’etre
Votre très humble et très | |
obéissant Serviteur | |
Rome le 31 Mai 1836. . | Le chargé d’affaires de france |
Augte de Tallenay |