Oh toi, de ton siècle, l’ornement et la gloire
Qu’on admire dans ses oeuvres, qu’on chèrit à le voir
Accepte cet hommage, que timide et tremblante
Une inconnue aujourdhui, à son tour te présente
C’est le plus simple sans doute; – Ce ne sont que des fleurs
[À] qui l’intention seule, peut donner quelque prix –
Mais si de te plaire elles auraient le bonheur.
Bientôt à leur destin, chacun porterait envie.
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No. 2485 of 10320 |
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| Sender | Date | Recipient |
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| NN |
Antagelig efter 1810
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Dating based onDateringsbegrundelsen er under udarbejdelse. |
Bertel Thorvaldsen
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Recipient’s LocationRom? |
AbstractThe commentary for this poem is not available at the moment. |
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| Archival Reference | |
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| m33, nr. 60 |
Last updated 01.11.2012
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