Livorne ce 6. Janv.r 1806.
Monsieur!
Je viens de recevoir avis de mon ami de Copenhague, par laquelle il m’ôte toute Esperance pour etre rembou[r]sé de Mr. Abildgaard des fraix que j’ai fait pour vous; il est donc de toute necessité, que vous vous occupiès d’une autre maniere, pour solder cet objet, pour lequel, comme vous voyés, j’ai deja eu assés de patience, mais il m’est impossible d’en avoir d’avantage. Dans l’attente donc d’une Reponse favorable qui termine cette affaire Je vous salue cordialemt.
J.C. Ulrich